El "Sacrificio de Ifigenia"./ Arriba, parte central del mosaico encontrado en la ciudad romana de Ampurias, Gerona, Cataluña.

El mosaico emporitano del Sacrificio de Ifigenia, fue descubierto en 1848, siendo pieza importante de los restos de una casa romana; ya que constituía el recuadro central del pavimento de una de sus habitaciones. Dicho recuadro mide 60 centímetros de altura por 55 centímetros de ancho./ Abajo a la derecha.

martes, 22 de julio de 1980

La verdad del instante

Copyright (C) JESÚS MORET Y FERRER, 2001

Siempre, recibiré con placer la muerte, a su llegada; pues seguro estoy, nunca será suficiente, para mí, lo vivido.
20-MAYO-1980.

Mi existencia tiene su inicio donde el universo mismo.
6-JULIO-1980.

"El Todo, como única unidad" -> Vida, desde el principio del todo y generación natural dentro del todo (trasformaciones o cambios dan origen a cosas o seres nuevos). ¡Lo que es, siempre está!, nada entra ni sale del todo sino que se genera en él y es producto de un ente "pensante" (intelecto) que emprende, en un momento dado, cierta acción.
Aunque el intelecto de los seres cambia según las circunstancias que afrontan dichos seres, encontrando para circunstancias diferentes, que los seres actuarán o darán origen a cosas o seres acordes a tales instantes, una vez conjugado el intelecto con la acción, tal intelecto-activo se mantendrá indestructible y eterno. Pues será, no otra cosa, que la verdad del instante, aún cuando en otros instantes (anteriores o posteriores) tal verdad pueda ser calificada en diferentes formas, según donde, cuando y quien califique. Esto se deberá a que las verdades son instantáneas y particulares a cada punto y ser. Y los juicios que se hagan al intelecto-activo fuera de su instante punto y ser están sujetos a ser tanto o más falsos mientras mayores diferencias existan entre los respectivos instantes, puntos y seres.
¡Lo que es, es la verdad! Los cambios o transformaciones traerán a cada instante nuevas verdades. La posesión de todas las verdades en todos los instantes y seres es la verdad suprema.
-> Veo a Dios en la naturaleza misma y el universo todo. Dios está en cada instante, punto cosa o ser y es el conjunto de todas las verdades. Dios es la verdad suprema.
Así, el intelecto-activo, verdad instantánea del ser, tiene como ideal supremo la verdad suprema; pues en la conjugación suprema de todas las verdades, es donde únicamente se encuentra la paz. ¡... Y solo en la paz de la verdad suprema no desearé la muerte!
22-JULIO-1980

22 de julio de 1980 - La verdad del instante (relativismo de la verdad)... se describe, inicialmente, a partir de un anillo de sección poligonal "elástica - de instantes sucesivos" (el modelo geométrico original tiene al triángulo como base)*:

"La verdad del instante"

16 de diciembre de 1990 - Se plantea el "Antropoautogenoteismo" o, simplemente, "Antropogenoteismo" y la "Omniteotrofía-Antropotranspanteista" u "Omniteotrofía-transpanteista".

"El árbol de la vida" (equivalente panteista)

26 de enero de 1992 - Se plantea la verdad total... como suma (integral) de las verdades instantáneas. El modelo geométrico y panteista se  funde con el modelo algebraico.

17 de julio del 2002 - Se plantea el modelo analítico (pentágono como base)... a partir del sujeto orgánico: "bio-psico-culto-socio-espiritual"; el cuál, casi de inmediato, pasará a reconocerse "sexuado" (idealmente, en pareja).





Dibujos correspondientes a la descripción analítica del ser y estar.

"ese ser bio-psico-culto-socio-espiritual-sexuado... en evolución".

En esos tiempos (1980), ya se manejaba la idea de un sujeto dividido:

"El sujeto dividido"
que a partir del

6 de mayo del 2006 - se supo, sorprendentemente, ¡lacaniano!

"Equivalente lacaniano"

8 de junio del 2013.


9 de junio del 2013. https://www.facebook.com/Jacques-Lacan-13294584203/



"PÈRE-VERSION.



Curieux que personne ne soit intrigué que Miller puisse écrire en 4e de couverture : "D'où l'éloge de la

perversion qui termine le volume", (in Séminaire de Jacques Lacan: Le désir et son interprétation. Transcription JAM, La Martinière. Paris Juin 2013).
C'est un volume ou la transcription d'un séminaire ?
Il est vrai que Lacan à déclaré que s'il s'était intéressé à la psychanalyse (dont la porte d'entrée fut pour lui la psychose), à cause des perversions.
Il est vrai que Freud lui-même a toujours cherché à élaborer la notion de "démenti " (Verleugnung), comme étant la stratégie spécifique du sujet pervers dans son rapport à la castration.
Il est vrai, que la perversion dans notre monde est trop souvent confondue avec la "perversité" (la canaillerie).
"L'éloge de la perversion" par Lacan se justifie de ce qu'elle "travaille" la culture que le névrosé "invente".
Il est vrai aussi que cet "éloge de la perversion", sera par la suite très nuancé par lui.
Sinon il n'irait pas chercher "L'homme de cour" de Balthazar Gracian, plutôt que les libertins, pour définir "le saint-analyste".
De même, pour faire raisonner autrement la définition du "saint homme", qu'il devrait être, s'il est un analyste digne de ce nom : "Ce n'est pas que les petits malins ne le guettent alors pour en tirer des conséquences à se regonfler eux-mêmes.
Mais le saint s'en fout, autant que de ceux qui voient là sa récompense.
Ce qui est à se tordre.
Puisque se foutre aussi de la justice distributive, c'est de là que souvent il est parti.
A la vérité le saint ne se croit pas de mérites, ce qui ne veut pas dire qu'il n'ait pas de morale.
Le seul ennui pour les autres, c'est qu'on ne voit pas où ça le conduit.
Moi, je cogite éperdument pour qu'il y en ait de nouveaux comme ça.
C'est sans doute de ne pas moi-même y atteindre.
Plus on est de saints, plus on rit, c'est mon principe, voire la sortie du discours capitaliste, — ce qui ne constituera pas un progrès, si c'est seulement pour certains". JL, Télévision.
Enfin Lacan, n'irait pas non plus nommer James Joyce le "Le Sinthome", à cause de l'extrême singularité de son art qui l'amène à inventer, ce que la psychanalyse n'a pas été "foutue" de faire: une nouvelle "Père-version".
Autrement dit une perversion "un peu moins conne et moins stéréotypée", que celles que nous connaissons.
Pourquoi ?
L'enjeu est important, parce que La Loi du désir, n'a rien à voir avec les lois (les règlements du monde)
"La Loi" c'est l'amour, dont ne connait pas la règle du jeu, autrement dit "la père-version".
Reste à comprendre comment l'amour peut-il être "l'imaginaire spécifique de chacun" JL.
Autrement dit, non pas narcissique, mais fondé sur le Réel comme impossible à dire, comme le désir spécifique à chacun.
"Pas-tous" pervers justement, mais "tous prolétaires"(Lacan), c'est l'avenir que nous promet le discours capitaliste, soit l'absence de toute possibilité de faire lien social, si nous le laissons faire sans lui opposer le désir d'un refleurissement de l'amour.
PV, le 9/06/2013."


13 de junio del 2018
Los Límites de "Los Nuestros" (la interdependencia)
... y la "cuarta persona". "Él" es "Nuestro"; ... / "otro" es ajeno!

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16 de marzo de 1976. Jacques Lacan.

"J’essaie de vous donner un bout de Réel, à propos de, de ce dans quoi, dans la peau de quoi nous sommes, à savoir la peau de cette histoire incroyable, enfin, qui est l’esprit humain, qui est l’espèce humaine.

Et je vous dis que il n’y a pas de rapport sexuel, mais c’est de la broderie.

C’est de la broderie parce que ça participe du oui ou non.

Du moment que je dis il n’y a pas, c’est déjà très suspect.

C’est suspect de n’être pas vraiment un bout de Réel.
Le stigmate du Réel, c’est de se relier à rien, j’ai déjà dit ça tout à l’heure.
Là où on se reconnaît, c’est seulement dans ce qu’on a.
On ne se reconnaît jamais — c’est impliqué par ce que j’avance, c’est impliqué par le fait reconnu par Freud qu’il y a de l’Inconscient —, on ne se reconnaît jamais dans ce qu’on est.
C’est le premier pas de la psychanalyse.
Parce que ce qu’on est c’est de l’ordre, quand on est homme, c’est de l’ordre de la copulation.
C’est-à-dire de ce qui détourne ladite copulation dans la non moins dite et, significativement, dans la non moins dite copule constituée par le verbe être.
Le langage trouve, dans son infléchissement vers la copule, la preuve qu’il est une voie de détour, tout à fait vessie, c’est-à-dire obscure.
Et obscur n’est là qu’une métaphore ; parce que si nous avions un bout de Réel, nous saurions que la lumière n’est pas plus obscure que les ténèbres, et inversement.
La métaphore copule n’est pas une preuve en soi.
C’est la façon qu’a l’Inconscient de procéder.
Il ne donne que des traces.
Et des traces, non seulement qui s’effacent toutes seules, mais que tout usage de discours tend à effacer ; le discours analytique comme les autres.
Vous-mêmes ne songerez qu’à gommer les traces du mien de discours, puisque c’est moi qui, ce discours, ai commencé par lui donner son statut, son statut à partir du faire semblant de l’objet petit a.
Soit, en fin de compte, de ce que, de ce que je nomme, de ce que l’homme se mette en place de l’ordure qu’il est.
Du moins aux yeux d’un psychanalyste qui a une bonne raison de le savoir, c’est que lui-même se met à cette place.
Il faut en passer par cette ordure décidée pour, peut-être, retrouver quelque chose qui soit de l’ordre du Réel.
Mais vous voyez, j’emploie le mot retrouver.
Retrouver est un glissement, déjà, comme si tout de cet ordre avait déjà été trouvé.
C’est là le piège de l’Histoire.
L’Histoire est le plus grand des fantasmes, si on peut s’exprimer ainsi.
Derrière l’Histoire, l’Histoire des faits auxquels s’intéressent les historiens, il y a le mythe.
Et le mythe est toujours captivant."
JL, in Le sinthome, 16 mars 1976



15 de octubre del 2014. Patrick Valas.



15 de agosto del 2019. Patrick Valas, trabajo en proceso:



Revisado el 19 de abril del 2020.

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